mardi 30 septembre 2025

Ploemeur

 Retour vers la salle de sport de la Chataigneraie , nous y etions il n'y a pas si longtemps 

Voir ICI et ICI













@_kaz_art
@diaspora_crew
@zermifugs
@totem971
@villedeploemeur

@pierrot_lafz @akya.tattoo @sourire_funeste @j.stick1 @ezql___
Une bande d'amis qui aime se retrouver pour ce travail d'artiste


mardi 9 septembre 2025

Terminons cette sortie

 



Avec   le Britannique  Rocket01 


Photo de Just paint








 



Titre : « Le nouveau monde »


Ma dernière fresque murale à Quéven, poursuit mon exploration de portraits inspirés de la science-fiction, mêlant rencontres extraterrestres et éléments de la nature. Pour cette œuvre, j'ai privilégié une palette vibrante de verts turquoise et de roses profonds. La figure repose parmi les plantes, connectée à elles par sa combinaison spatiale et son casque, tandis que des papillons, attirés par son énergie positive, se posent autour d'elle.

Le festival de street-art Just paint 2 s’est achevé, dimanche 24 août 2025, à Quéven, par une balade de 2 km pour découvrir les quatre nouvelles œuvres qui ornent différents bâtiments de la commune.

Merci à la mairie de Quéven pour cette très belle initiative 


samedi 6 septembre 2025

Quéven (3)

 


C'est avec Farid Rueda  (Mexicain ) que nous continuons   

"L'hermine "


L’hermine a été choisie comme protagoniste pour son lien profond avec la Bretagne, où elle est un symbole historique présent sur le blason de la région, associé à la pureté et à l’intégrité. 
Sa capacité à transformer son pelage selon la saison, blanc en hiver avec seulement l’extrémité de la queue noire et coloré au retour du soleil. 
Cet animal m’a inspiré à bâtir un pont entre deux cultures. 
L’œuvre représente la visite de Tonatiuh, Dieu aztèque du Soleil, qui, par sa chaleur, habille l’hermine de formes et de motifs colorés, évoquant la richesse de l’héritage indigène mexicain. 
Les détails incluent des références au triskèle, aux poissons comme symbole de la mer qui façonne le climat breton, ainsi qu’aux fleurs qui annoncent la renaissance avec l’arrivée du soleil.









Magnifique non ???

jeudi 4 septembre 2025

Queven (2)





 Nous continuons notre découverte avec la deuxième fresque  faite avec 
Nensetango  qui vient du Chili 

Je n'ai pas trouvé grand chose sur ce Monsieur 

Par contre son travail est vraiment impressionnant 








Ce mur est une représentation poétique et métaphorique de la situation mondiale actuelle, marquée par les déplacements massifs de populations à travers le monde, provoqués par les conflits politiques et la guerre. 
Les grands empires néocoloniaux cherchent à imposer leur volonté et à occuper des territoires au profit de leurs pays, dépossédant les populations de leurs foyers, les forçant à quitter leurs terres, leurs racines et leurs traditions. 
Dans ce contexte symbolique et figuratif, l'humain est représenté par le chien errant, la maison devient notre lieu d'origine, physique, mentale et spirituelle. 
Enfin, dernier élément, mais non le moindre, de la composition : le petit « H » de l'autre côté symbolise l'armement, issu des jeux vidéo de guerre et vise à représenter la façon dont le monde perçoit les armes aujourd'hui, comme des jeux. (Just Paint )


Magnifique travail , merci Monsieur


mardi 2 septembre 2025

Quéven

 Pour la deuxième fois cette petite ville à accueilli de grands artistes du street art pour embellir sa ville avec de très belles fresques 

"Balade de mur en mur "


La première d'entre elles porte le nom de "La Dame En bleu"  faite par l'artiste Emesa 


Photo du Télegramme 

 Emesa, qui fait découvrir tout son talent sur le mur de l’école de musique, rue de la Gare. 

Marija Silvija Ambrazeviciute (MSA devenu Emesa) est née en 1994 à Kaunas, en Lituanie.

 Son intérêt pour l’art ne tarda pas à se manifester. 

Dès son plus jeune âge, elle remplissait de nombreux carnets de croquis et de visages.



L’artiste se concentre sur les portraits, principalement de femmes, colorés et vibrants, comme ici à Quéven. 
Le papier et la toile deviennent trop petits.
En 2016, elle cherche de nouvelles alternatives. 
C’est ainsi qu’elle découvre la bombe de peinture et l’expression murale. Un langage visuel énigmatique 
Dans son travail, l’accent est toujours mis sur l’expression. « Je cherche à donner une voix au non-dit, par une expression du regard, un geste de la main ou la coloration de l’image », dit-elle. 
Son langage visuel est énigmatique et elle aime laisser le public en saisir le sens par lui-même. Ses œuvres s’éloignent de la réalité, mais semblent souvent extraterrestres.





L’œuvre d’Emesa oscille entre la rencontre avec des extraterrestres dans des galaxies lointaines et le rêve éveillé, abusé de fruits sucrés et de romantisme.


 En France, elle a réalisé une fresque, en juin, à Strasbourg. 

En 2025, Emesa a obtenu son diplôme d’arts libéraux à l’Académie des Beaux-Arts de Karlsruhe, dans la classe du dessinateur néerlandais Marcel van Eeden. 

Superbe travail